Au début du XXe siècle, Marc-Aurèle Fortin peint de vieilles maisons ; plus tard, dans le Vieux Montréal, il trouve son inspiration dans les clochers d’églises, les bâtiments historiques aux toits enneigés et moindres recoins du port. Il produit des huiles, aquarelles, pastels, gouaches et des eaux-fortes.