Marcelle Ferron participe au mouvement automatiste (1946-1953). Cosignataire de Refus global, elle s’est rapidement imposée au sein de l’avant-garde artistique au Québec, pour devenir l’une des principales représentantes de sa génération. Femme engagée, tant dans les questions de justice sociale que dans les débats artistiques, Marcelle Ferron a également apporté, comme maître verrier, de nombreuses contributions à l’architecture et à l’art public.